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Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36340847

RESUMO

BACKGROUND: Leprosy is uncommon in Canada. However, immigration from leprosy-endemic areas has introduced the infection to a Canadian context, in which most doctors have little knowledge of the disease. Although post-exposure chemoprophylaxis (PEP) is reported to decrease leprosy transmission, no Canadian guidelines advise clinical decision making about leprosy PEP. Here, we characterize the practice patterns of Canadian infectious disease specialists with respect to leprosy PEP and screening of household contacts by yearly physical examinations. METHODS: Canadian infectious disease specialists with known experience treating leprosy were identified using university faculty lists. An online anonymous survey was distributed. Certain questions allowed more than one response. RESULTS: The survey response rate was 46.5% (20/43). Thirty-five percent responded that PEP is needed for household contacts, 40.0% responded that PEP is not needed for household contacts, and 25.0% did not know whether PEP is needed (multinomial test p = 0.79). Twenty-five percent responded that PEP should be given to all household contacts, 62.5% responded that PEP should be given to contacts of multibacillary cases, and 25.0% responded that PEP should be given to contacts who are genetically related to the index case. For specialists who prescribe PEP, 57.1% use rifampicin, ofloxacin (levofloxacin), and minocycline; 14.3% prescribe single-dose rifampicin; and 28.6% prescribe multiple doses of rifampicin (multinomial test p = 0.11). In addition, 68.4% recommend yearly screening of household contacts, whereas 31.6% do not (multinomial test p = 0.17). CONCLUSION: Consensus among Canadian infectious diseases specialists is lacking regarding leprosy PEP and screening of household contacts.


HISTORIQUE: La lèpre est peu courante au Canada. Cependant, en raison de l'immigration de régions où la lèpre est endémique, cette infection existe, mais la plupart des médecins du Canada la connaissent peu. Même s'il est établi que la chimioprophylaxie post-exposition (PPE) réduit la transmission de la lèpre, il n'existe aucune directive canadienne pour éclairer les décisions cliniques sur la PPE de la lèpre. Les chercheurs caractérisent les schémas d'exercice des infectiologues canadiens au sujet de la PPE de la lèpre et du dépistage des contacts familiaux par des examens physiques annuels des aspects dermatologiques et nerveux périphériques. MÉTHODOLOGIE: Les chercheurs ont répertorié les infectiologues canadiens qui ont une expérience démontrée du traitement de la lèpre grâce aux listes des professeurs universitaires. Ils ont distribué un sondage anonyme en ligne. Pour certaines questions, les participants pouvaient fournir plus d'une réponse. Ils pouvaient aussi sauter certaines questions. RÉSULTATS: Le taux de réponse au sondage s'élevait à 46,5 % (20 cas sur 43). De cette proportion, 35,0 % ont répondu que les contacts familiaux avaient besoin d'une PPE, 40,0 %, qu'ils n'en avaient pas besoin, et 25,0 %, qu'ils ne le savaient pas (test multinomial, p = 0,79). Sur l'ensemble des répondants, 25,0 % ont répondu que tous les contacts familiaux devraient recevoir une PPE, 62,5 %, qu'elle devait être administrée aux contacts des cas multibacillaires, et 25,0 %, aux contacts génétiquement apparentés au cas de référence. Chez les spécialistes qui prescrivent une PPE, 57,1 % utilisent de la rifampicine, de l'ofloxacine (lévofloxacine) et de la minocycline, 14,3 %, une seule dose de rifampicine, et 28,6 %, de multiples doses de rifampicine (test multinomial p = 0,11). De plus, 68,4 % recommandent le dépistage annuel des contacts familiaux, et 31,6 % ne le recommandent pas (test multinomial p = 0,17). CONCLUSION: Il n'y a pas de consensus chez les infectiologues canadiens au sujet de la PPE de la lèpre et du dépistage des contacts familiaux.

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